Ce qu’en disait son ami René CHAR ( in Correspondance) :
« Vous êtes un des rares hommes, Albert, que j’aime et que j’admire d’instinct et de connaissances à la fois (les deux si souvent se détruisent), ces hommes que le temps, le souci, l’espoir, la fatigue puis l’allégresse de vivre font grandir chaque jour dans notre coeur dont ils occupent et dessinent le sommet que la nature ne nous a point donné et qui n’est dû qu’à nous et à cet infime nombre de frères que nous chérissons et qui nous éclairent à tout moment là-haut. »
René CHAR , 6 mai 1953.